AMEN BANK

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PRÉSENTATION DE AMEN BANK :

Une identité bien affirmée:

AMEN BANK, société anonyme régie par la loi n°2001-65 du 10 Juillet 2001 relative aux établissements de crédits, qui a était modifié et complétée par la loi n°2006-16 du mai 2006, est la première banque entièrement privée et tunisienne. Totalement vouée au service de sa clientèle et au développement de l'économie nationale, AMEN BANK se fixe 3 objectifs essentiels: servir, innover et faire réussir. AMEN BANK opère sur l'ensemble du territoire tunisien grâce à son riche réseau de 160 agences (répartie sur 14 directions régionales), dotées de moyens humains performants et dynamiques et d’outils informatiques à la pointe de la technologie ; sa clientèle est aussi bien composée d’entreprises que de particuliers.

Dans le paysage bancaire tunisien, AMEN BANK se distingue par sa longue histoire, qui remonte à plus d'un siècle ;

AMEN BANK est une banque universelle, située au cœur d’un groupe diversifié et à forte synergie, qui bénéficie d’une forte croissance, lui permettant d’assurer sa stabilité et sa pérennité. Son capital social, s’élevant actuellement à 132.405.000 DT, est détenu à hauteur de 61.38 % par Amen Group.

Plus d'un siécle d'histoire:

C’est   en amont de notre siècle qu’il faut remonter, plus précisément à 1880, année de création de la Société Centrale de Banque, un établissement français qui s’est installé en Tunisie sous la dénomination de "Crédit Foncier d’Algérie et de Tunisie" (CFAT).

Le siège du CFAT était à Alger et l’implantation d’une succursale à Tunis entrait dans le cadre d’un vaste mouvement d’installation d’établissements de crédit métropolitains avec la volonté bien arrêtée d’éliminer progressivement les banques non françaises.

Avant l’indépendance, le système bancaire tunisien était le prolongement de l’appareil bancaire français. Il avait pour mission de base, le financement de la colonisation du pays.

A la différence des autres banques de l’époque, le CFAT se distinguait par un statut d’établissement mixte sans spécialisation déclarée. Au vu de la structure de ses engagements, les crédits finançaient, pour le court terme, les campagnes agricoles et, pour le moyen et long terme, le foncier, la construction et autres aménagements.

Au lendemain de l’indépendance, les pouvoirs publics se sont mobilisés pour pallier l’inefficience évidente du système bancaire et en assurer la refonte totale. Constitué pour l’essentiel de banques privées de droit français échappant au contrôle des autorités locales, le système bancaire devait être progressivement tunisifié par la mise en place notamment de la Banque Centrale en 1958, du décrochage du dinar par rapport au franc français et de la création des banques publiques. Ce fut l’époque de la tunisification et de la concentration. Des treize banques en exercice à cette époque , six seulement n’ont pas subi de modifications. C’est le cas du CFAT qui a gardé son statut juridique français et qui dépendait encore du siège d’Alger.


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